Chapelle St-Jacques
De nombreuses chapelles ont existé au fil des siècles à l’intérieur de l’église. Deux ont aujourd’hui une affectation propre. L’une est dédiée à St-Etienne lui-même, sous le vitrail de St-Etienne, au fond à gauche de l’église. Il s’agit essentiellement d’un lieu de prière et de recueillement qui peut accueillir 12-20 personnes pour des petits moments de célébrations. La seconde chapelle est dédiée à St-Jacques. Elle se nomme également chapelle Cerjat, du nom d’une ancienne famille.
Au fil des siècles, les chapelles ont changé de noms, selon leur destination, un donateur ou l’architecte. Par exemple, la chapelle St-Jacques, s’est appelée Notre-Dame-de-Pitié, puis Buloz, puis Cerjat et enfin St-Jacques. La chapelle adjacente (non-utilisée) se nomme St-Claude ou Bovay. Juste après, avant la porte latérale gauche, se trouvait la chapelle St-Antoine. Immédiatement après la porte latérale gauche, se situe la chapelle St-Michel; c’est maintenant un lieu d’écoute. De l’autre côté, en entrant à droite, juste après l’espace de rangement, se trouvait la chapelle St-André. Ensuite, toujours à droite et en direction du choeur, la chapelle St-Bernardin. Encore après et avant la porte latérale droite, l’ancienne chapelle St-Jacques.
Au fil des siècles, les chapelles ont changé de noms, selon leur destination, un donateur ou l’architecte. Par exemple, la chapelle St-Jacques, s’est appelée Notre-Dame-de-Pitié, puis Buloz, puis Cerjat et enfin St-Jacques. La chapelle adjacente (non-utilisée) se nomme St-Claude ou Bovay. Juste après, avant la porte latérale gauche, se trouvait la chapelle St-Antoine. Immédiatement après la porte latérale gauche, se situe la chapelle St-Michel; c’est maintenant un lieu d’écoute. De l’autre côté, en entrant à droite, juste après l’espace de rangement, se trouvait la chapelle St-André. Ensuite, toujours à droite et en direction du choeur, la chapelle St-Bernardin. Encore après et avant la porte latérale droite, l’ancienne chapelle St-Jacques.
Chapelle St-Etienne
La chapelle St-Etienne se situe au fond à gauche de l'église, sous le vitrail racontant le martyr du diacre Etienne, qui a donné son nom à l'église elle-même.
Avant la Réforme, elle abritait l'autel de la Ste-Vierge, disparu depuis 1536, avec l'arrivée des Bernois réformateurs. Elle sert actuellement de lieu de prières pour petits groupes. |
Chapelle St-Barthélémy
Il s'agit de l'actuelle sacristie (dans la tour), elle est la plus ancienne à avoir été construite à l'extérieur de l'édifice. Elle se trouve entre la façade nord du choeur et le mur d'enceinte et la cinquième travée. L'arc boutant soutient, une fois comblé, le toit en appentis. La chapelle se trouve à l'étage et permet d'accéder aux étages supérieurs de la tour. Elle repose sur ce qui était devenu un ossuaire au XIVème siècle.
Chapelle Buloz-Cerjat
Sa dédicace originale était à Notre Dame de Pitié, Saint Christophe et Sainte Barbe, elle date de 1522. Elle est splendide par sa hauteur ainsi que par son style flamboyant. Sur une des clefs de voûte, il est possible de lire "cp/de/bu/lo" (chapelle de Buloz) et sur l'autre le monogramme trilitère "IHS" du nom grec de Jésus. La voûte est faite de deux carrés à croisée d'ogives, liernes et tiercerons.
Elle se trouve à l'entrée à gauche de l'église, actuellement dédiée à St-Jacques et aux pèlerins.
Elle se trouve à l'entrée à gauche de l'église, actuellement dédiée à St-Jacques et aux pèlerins.
Chapelles de Jacques Malle
Elles sont au nombre de deux. La première date de 1458, sur la paroi nord, dans un enfoncement de trois mètres. Elle est comblée au cours du XXème siècle avec un retrait de la façade. Le remplage de la fenêtre ne date que de cette époque. Les ébrasements tant extérieurs qu'intérieurs sont ornés d'un tore-colonnette qui repose sur des bases prismatiques baguées. Elles sont identiques aux pieds des deux tores qui garnissent chaque face de l'arc d'entrée de la chapelle.
La seconde, dite Saint Claude puis Bovay, datée de 1469, est plus simple, plus ordinaire, pour l'époque. Un tronc à liste, deux gorges flanquées d'un chanfrein et une croisée d'ogives. Celle-ci repose sur quatre culots revêtus de feuilles en fers de lance, tenu par des mains sortant des parois.